La societé en caste

Publié le par BELHAOUS Youssef

Récit traitant la  problématique des cafés d’aujourd’hui sous une forme critironie  pour une vie simple et mondaine de tiers-état. Écrite par BELHAOUS Youssef, étudiant de la langue française. 

 

 

                                                         L’intrus

C’était une histoire, oui ou non, mais c’est une histoire déroulée ici ou là. Les gens se réveillent au matin quasi parmi eux non aucune voie, ni cible aller pour eux fait plaisir, leur fait de bien, sont les épicuriens de la terre arabe .Une partie de ces gens ont quelques moyens pour vivre, pour cela ils passèrent leurs temps mort dans les cafés. Un café , ce mot jadis avait une grande valeur , lieu de discussion , de changer les paroles et surtout les idées qui sont bonnes , mais et le mais toujours s’oppose au café d’aujourd’hui qui a une valeur péjorative , il ne sert qu’a badauder, lieu pour des gens ,oui , pour parler , causer , entretenir mais sur qui ? Oui et bien sûr pas sur des livres ou autre chose qui a le sens littéraire mais sur les gens, mais aussi quels gens ? Gens qui ‘ont une importance et chance pour que d’autres leurs sacrifient du temps pour parler sur eux. Un jour dans ce café qui est au centre et au bord de va-et-vient, chaises à l’intérieur et à l’extérieur. Les habitués de ce lieu fanatique sont nombreux et connus et chacun sait bien ou il peut mettre ses fesses, ces gens ont terminé le temps normal qu’un corps peut accepter en état de s’asseoir. Le jeune précipita vers eux comme s’il est suivit par un policier ou un voleur ou même par sa femme …regarda, passa le salut par sa mains cela revient au Dieu, demanda un café , un café coûte 6 DH pour deux heurs ou même plus. Il est là avec eux, il ne parle à personne, seul, il est derrière eux, le café se met à se remplir par les gens, par les coutumiers, l’heur à sonner pour chuchoter, causer sur les gens, mais quels gens ? (aussi) tout le monde se tourne, d’une minute à autre, d’un moment à autre, ils sont bizarres, ils veulent savoir, connaître un importun qui est parmi eux, il n’est pas souhaité , il faut le chasser , chaque table comprend quatre ou cinq personnes , deux qui consomment , les autres sont des invités qui aident à chauffer la causerie .Le pauvre est là , veut être avec eux , veut s’intégrer avec eux , mais eux sont en train de parler . Maintenant, ils ne parlent pas, parlent pas sur les gens de l’extérieur qui marchent devant le café des curieux, mais ils tiennent des propos sur l’intrus. Des questions sur lui de toutes genres, lui est inconscient que tout le monde le haie, mais il existe et résiste au regard méprisant, au regard qui mène au sens DEHORS, nous sommes en caste, on a des coutumes et habitudes et on a une langue, tu es pas et tu ne deviendra pas comme nous, chasse toi ! Sans que ne le ferons nous même, allez, bouge de là, casse toi ! S’il te plait .Des heurs et heurs, les gens n’ont pas trouvé leur liberté et autonomie comme avant, car lui est là. Pour eux, lui, c’est dieu, moins qu’un commissaire c’est le surmoi, un parle pour décoder : il y a une odeur détestable qui vient de l’arrière, l’autre demande : oui mais quelle genres d’odeurs ? l’odeur de l’homme qui a mis son pied sur quelque chose sale -chien – et tout le monde regarde- et pas voir -pour une autre fois , et lui là derrière , ne dit , ne fait rien ,en train de boire en calme et joie , tout ce qu’il sait faire c’est boire et regarder , regarder et pas voir , le responsable du café vient pour être sûr , il n’aperçut rien de tout , il ne sent rien aussi mais comme les gens n’ont pas le vrai visage de se taire ils commencèrent à parler et parler sur lui d’une façon directe et droite , ils jettent tout ce qu’ils ont à dire pour les gens qui passe devant pour le mettre à cet homme , mais lui ne fait rien comme s’il est dans un monde unique et idéale -son monde – boit en calme et regarde ,seulement regarde , soudain , il rit car il a vu un homme qui a touché les fesses d’une femme qui est vêtu d’un jean très bien serré pour manifester son cul, la femme l’avait frappé , soudain il revient à l’état , la femme dehors , contente de rage car enfin un qui lui prête de la valeur que c’est une femme avec des seins, des jambes et … Dans le café, les gens n’ont pas supporté l’éclatement de rire de cet homme et ils ne savaient pas pourquoi il riait car leur préoccupation était cet homme au premier rang. Lui là, 6 DH ont fait deux heurs, donc deux heurs et les gens parlent et causent sur cet homme qui se mit debout, il a mis sur la table 10 DH ? il a salué le maître du café par sa main comme avant il chemina entre les tables, les gens le tirent par regard et le piquent par les yeux et les paroles , maintenant ils ont commencé à l’offenser et l’insulter , mais lui ne fait rien, il est sortit , il passa devant , s’intégra au milieu de va et vient, les gens du café sortaient tous pour le voir , car ils disaient qu’il est trop patient et assidu , brusquement un homme conduisant une bicyclette ,les freins coupés en train de crier : attention ,attention ,tout le monde se met en bonne partie , sauf lui , les gens du café n’ont rien dit seulement : je crois qu’il va le frapper par arrière , l’autre je pense pas . Le cycliste crie, les gens de va et vient aussi, mais en vain , le terrassant à frapper le pauvre et miséreux de la terre ce dernier était un sourd-muet. Au café l’un dit à l’autre et maintenant un thé payé sur toi.

 

Publié dans belhaws

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A
Heureux de découvrir par hazard votre site, trés agréable par ailleurs. J'espere que vous allez l'alimenter de nouvelles continuellement pour notre information et notre plaisir. Le travail des uns crée du travail aux autres. Merci infinniment d'etre vous meme. Bin à vous
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A
bonne chance mon ami
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